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Congrès de l’AMEUS: un prélude au colloque

Le congrès de l’AMEUS a été pour moi une source très importante de motivation et d’inspiration. Je sens que j’ai aussi été bousculé dans mon rôle d’éducateur. Je sens que nos gestes sont importants, mais le changement de comportement est capital. Nous sommes éducateurs et nous avons le devoir de créer une mouvance d’espoir et de mettre en branle des outils de changements

La conférencière d’honneur, Laure Waridel, a présenté plusieurs points importants pour les changements en environnement. Elle définit le processus en trois phase distinctes.

Le première est que l’idée d’un changement est complètement ridicule. Le début du projet Carboneutre a été mis en doute et brassé. “Une école Carboneutre ça ne se peut pas.” Les premières années ont été difficiles et souvent j’ai voulu lancer la serviette.

Le deuxième phase est une forte opposition au projet. Je ne sens pas que nous avons eu des adversaires qui voulaient freiner la réussite du projet. Cependant, nous avons dû à plusieurs reprises travailler à contre-courant.

Finalement, la troisième phase d’un changement est qu’il est plein de bon sens et qu’il a toujours été là. Que les détracteurs deviennent les plus grands supporters du projet.

Pour pallier à cette idéologie, ancrée dans le subconscient de notre société, elle nous a indiqué les cinq clés du succès environnemental québécois.

  1. Le message de changement doit être relié à l’émotion. L’amour de notre milieu naturel.
  2. C’est avec notre cœur que nous pouvons déplacer des montagnes.
  3. Nous devons développer un lien affectif avec notre environnement. 
  4. Nous avons besoin de jouer dehors. 
  5. La société québécoise est tissée serrée. 

Je crois sincèrement que nous avons la recette pour la réussite.

Toujours plein d’espoir je vous laisse sur ces mots de Gandhi.

 “Soyez le changement que vous voulez voir dans le monde”.

Visitez les sites suivants pour de plus renseignements.

AMEUS Sherbrooke

Laure Waridel